Raillerie, satire, ironie et signification profonde

de Christian Dietrich Grabbe (1821-1836).
Mise en scène d’Émilie Valantin.
Scénographie de Nicolas Valantin.
Musique de Jean-Christophe Marti.
Marionnettes à tringle et à fils.

Coproduction : Hebbel Theater de Berlin, Festival de Weimar et Espace Malraux-Scène Nationale de Chambéry.
Avec le soutien de l’ADAMI et de l’ANPE Rhône-Alpes.
Avec la complicité amicale de la Villa Gillet-Unité de Recherches Contemporaines (Lyon) et du Centre Culturel de Montélimar

Cette pièce de jeunesse de Grabbe nous enchante mais elle n’a, à première vue, aucune signification profonde !
L’argument de la pièce est simple : Le Diable arrive sur terre pendant que sa grand-mère fait le ménage à fond en enfer. Il provoque des situations saugrenues dans la vie d’individus piteux, déjà entortillés dans leurs propres comportements sociaux et psychologiques.
Tous les personnages se débattent avec aigreur ou esprit pour exister à sa façon dans l’imbroglio organisé par le diable entre les prétendants à la main d’une jeune héritière.